Les animaux sauvages doivent se battre pour survivre et la survie va souvent les pousser à chasser des animaux domestiques. Le renard a été énormément chassé, car il s'attaquait aux poules et autres animaux de la ferme qui sont bien plus facile à capturer, car ils sont en cage et ne pouvaient pas se sauver. Comme nous, les animaux aiment bien se faciliter la vie.
Les animaux sauvages sont curieux, et ils sont intrigués par ce qui est nouveau pour eux. Il est toujours possible que ce soit la première fois qu'un animal voit un autre animal ou un humain. Leurs réactions sont imprévisibles mais, en général, un animal sauvage va se sauver quand il voit un humain, il peut s'attarder par curiosité mais va rarement attaquer.
Les animaux sauvages sont fait pour vivre pas pour mourir.
Ils sont efficaces dans la nature : les vautours sont faits pour nettoyer les carcasses d'animaux, les lynx mangent les petits nuisibles...ces animaux sont faits pour animer la nature et non decorer une pièce de leur tête, de leur peau ou d'une autre partie de leur corps.
la protection des animaux sauvages
Le marché noir des produits animaux illicites est estimé à plusieurs milliards de dollars US par an, dépassé uniquement par les trafics de drogue et d'armes. Pourtant, si une grande partie du commerce d'espèces sauvages est illicite, c'est pour de très bonnes raisons : le commerce d'espèces menacées met en danger la biodiversité, transmet des maladies infectieuses au bétail et aux humains et cause d'inutiles souffrances aux hommes comme aux animaux.
C'est pourquoi IFAW travaille activement pour garantir une protection maximale aux espèces sauvages vulnérables. Pour IFAW, l'une des manières d'y parvenir est de travailler au sein d'un d'accord international connu sous le nom de CITES (Convention des Nations Unies sur le commerce international des espèces menacées) afin d'éliminer le commerce illicite d'espèces sauvages et de protéger les animaux des menaces générées par le commerce international. La CITES a été élaborée comme un accord international visant à s'assurer que le commerce international légal d'animaux et de plantes sauvages ne leur nuit pas ou ne menace pas leur survie et à éliminer le commerce illicite d'espèces sauvages.
Près d’une centaine d’espèces d'animaux et de plantes disparaissent chaque jour.
Le commerce d'espèces sauvages légal, mais mal réglementé, accélère le taux d'extinction de nombreuses espèces. Dans le monde, 1093 parmi plus de 5400 (20 %) espèces connues de mammifères et 1206 parmi plus de 9900 (12 %) espèces connues d'oiseaux sont menacées d'extinction.
Selon le Dr Michael Novacek, haut responsable scientifique de l'American Museum of Natural History, « jusqu'à 30 % de la diversité des espèces aura disparu d'ici le milieu de ce siècle. »
Au total c'est un nombre alarmant de 7725 espèces d'animaux – allant des insectes et des mollusques aux gorilles et aux éléphants –que l'on considère comme menacées.
La plupart de ces espèces sont mises en danger par les activités humaines : du braconnage et de la surexploitation à la destruction des habitats, en passant par la pollution et le réchauffement global. Le braconnage et le commerce illicite à eux seuls pourraient faire disparaître les éléphants, les tigres et les grands singes de vastes secteurs de leurs aires de répartition dans les 20 à 50 prochaines années. Mais nous avons le pouvoir d'empêcher cette disparition et d'assurer la survie des animaux et des plantes de la planète.
Sauver les espèces menacées est important non seulement pour l'agrément qu'elles nous apportent, mais aussi parce que le réseau de la vie est lié de manières complexes. La perte d'une espèce affaiblit ce réseau, souvent avant même que l'espèce soit éteinte. Le déclin dramatique des effectifs de populations animales et de la biodiversité des espèces est un signe de dégradation des écosystèmes.
Lorsque des animaux et des plantes disparaissent, c'est le tissu même de notre environnement global qui change, nous mettant tous en danger.
Nous, les humains, avons besoin de la diversité de la vie pour notre propre survie. IFAW s'est engagé à protéger cette diversité. Notre collaboration avec la CITES et les gouvernements n'est que l'un des outils que nous utilisons pour contribuer à assurer la survie des trésors naturels de ce monde que nous partageons avec les animaux.
IFAW reconnaît la CITES comme un outil stratégique pour protéger certaines espèces des effets potentiellement dévastateurs du commerce international. Une réglementation stricte et le contrôle du commerce d'espèces sauvages, alliés à des mesures de lutte contre le braconnage et d'éducation du public, se sont avérés la meilleure stratégie de protection des animaux.
le murien
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