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Titre du blog : reverie-romantique
Auteur : cirella
Date de création : 12-10-2008
 
posté le 12-10-2008 à 22:45:55

Relation Amoureuse ; Amour , Baisers , Préliminaires

          
      
         
          

         

         
            



                     

                 

               





                


                             


                                

                    
    
                   


                          


       

Une relation amoureuse

       

 
est, par définition, une relation entre deux ou plusieurs personnes (voir polyamour et polygamie), basée sur une attirance quelconque entre ces personnes.

        
Une relation amoureuse est, la plupart du temps, la base d'un
amour entre ces personnes, et très souvent la base de relations sexuelles.

        


Parfois, les partenaires amoureux choisissent de rendre leur union définitive (ou espèrent qu'elle le sera) en contractant un
mariage, et/ou de fonder une famille en concevant ou adoptant un ou des enfant(s).

           

Une relation amoureuse peut être exclusive (un seul partenaire amoureux à la fois) ou pas (
polyamour, polygamie).

Dans la culture occidentale, la relation amoureuse implique des codes spécifiques (Saint-Valentin, reproduction, etc), du reste comme dans chaque civilisation humaine.

            


       

           
Un baiser est un contact volontaire rapproché, de durée variable, des lèvres sur une autre matière. D'une manière générale et familièrement parlant, un baiser désigne l'échange mutuel et désiré d'un contact labial, sans toutefois s'y restreindre. Entre autres, la main, la joue et le front font partie des endroits traditionnellement baisés (embrassés) en Europe. Il s'agit d'une marque d'affection ou/et de respect dans de nombreuses cultures, surtout occidentales. Dans d'autres cultures, le baiser peut être totalement inexistant, ou même réprimé.

           

Le mot français tire ses racines du latin basium (même sens), mot dont l'origine serait
onomatopéique et qui laisserait entendre le bruit que font les lèvres donnant un baiser.

       

            

L'on distingue en particulier les baisers sur la joue (ou bise) –
amicaux – des baisers amoureux, sur la bouche (voire sur d'autres parties du corps). Cela dit, dans la majeure partie des États-Unis, entre autres, les parents ont pour habitude de donner des baisers sur la bouche à leurs enfants, en marque d'affection.

                

Le baiser se distingue clairement du verbe « baiser » qui, de manière très
familière, désigne l'acte sexuel.

Le flirt est souvent décrit comme une conversation informelle, que l'on nomme un peu familièrement la drague, avec une touche romantique. Mais le langage corporel est primordial. C'est un moyen pour rompre la glace avec un inconnu et peut-être s'engager dans une relation d'amitié ou d'amour durable.

             

Le flirt ou marivaudage est un jeu pour traiter des choses sérieuses, comme l'
attraction sexuelle, non pas pour montrer à l'autre qui l'on est, mais plutôt combien l'on peut être agréable, sympathique, lorsqu'on s'en donne la peine.

        

Une étymologie populaire (reprise par
Bernard Cerquiglini [1] à partir de compter fleurette) répandue fait venir le mot du vieux français conter fleurette, en référence à l'effeuillage d'une fleur, passé en anglais et revenu par la suite depuis la langue anglaise. Mais l'expression « conter fleurette » ne date que du XVIIe siècle, tandis que l'anglais flirt au sens de « badiner, être inconstant » date du XVIe [2].
     

 
Parfois appelée
flirt ou, plus rarement, marivaudage, la séduction est un jeu entre deux ou plusieurs personnes, où chacun s’efforce de susciter de l'attirance puis des sentiments chez l'autre, souvent pour le plaisir de plaire, parfois en vue d'en obtenir quelque chose, des rapports sexuels ou une mise en couple par exemple.

Du point de vue de la religion, la séduction est souvent considérée comme une forme de tentation, une invitation à commettre un péché ou un acte de faiblesse charnelle.

Elle semble néanmoins une étape préliminaire à toute relation amoureuse solide

L’amour

       

                              


                           

est un sentiment envers un être ou une chose qui pousse les personnes qui le ressentent à adopter un comportement, plus ou moins rationnel, les entraînant principalement à rechercher une proximité pouvant être tendre, physique, passionnée, intellectuelle, spirituelle, voire imaginaire, vis-à-vis de l'objet de cet amour.

                 

L'amour peut être, selon la situation, faible, fort ou obsessionnel. Selon ces critères, il peut être plus ou moins contrôlé par la personne qui le ressent.

       
Par extension, l'amour désigne nombre de choses qui sont liées à ce sentiment, telles que, par exemple, l'objet de cet amour (« Mon amour »).

Une émotion complexe

           

L’amour est une émotion affective à la fois simple et complexe, perturbée par les cultures, débattue depuis des siècles et encore débattue de nos jours. Cet attachement affectif est un sujet de
biologie (pourquoi l'amour), de psychologie (l'impact de l'amour et de son absence), de sociologie (son rôle dans les relations humaines), de philosophie (dans quel but aimer ?), de théologie (l'amour de Dieu), d'Art (l'amour dans tous ses arts), de divertissement (les plaisirs de l'amour), d'économie (le commerce de la rencontre amoureuse) et de sciences exactes (les molécules mises en jeu).

Aspect neurologique et biochimique du sentiment amoureux

           

Le désir charnel, la passion amoureuse, se caractérisent d'un point de vue biochimique par la libération de
phéromones et la modification des taux hormonaux. Cet état altéré de l'esprit, inhibant notamment les aires cérébrales associées à la critique de l'autre et à l'ennui, peut durer plusieurs années.

Chez les animaux, par exemple, une intervention dans un processus naturel comme l'accouchement perturbe l'attachement de la femelle envers son petit. Ainsi, « des brebis parturientes ayant subi une anesthésie péridurale ne manifestent pas de comportement maternel. »

 

Relations sexuelles

Cygnes formant un cœur ♥
Cygnes formant un cœur ♥

L'amour ne diffère pas fondamentalement dans les diverses cultures humaines, les parades de séduction restant à la base les mêmes en Afrique, en Orient, en Europe ou en Amérique du Nord. C'est plutôt l'attitude à l'égard du désir féminin, dont la répression est fréquente dans beaucoup de sociétés (voir aussi Comportement et langage), qui change de forme extérieure.

       

En général, la parade amoureuse est initiée par la femme, dont l'attitude exprime de façon plus ou moins explicite sa disponibilité. Les hommes tentent de solliciter les femmes (
drague, séduction, etc.), ainsi un contact sexuel non précédé d'un feu vert féminin plus ou moins tacite n'a que peu de chance d'aboutir.

           

Cette complexité est sans doute l'une des manifestations les plus flagrantes du conflit entre notre nature d'être pensant évolué et la réalité de l'état de nature d'animal. Les signes d'acceptation féminins sont, selon de nombreuses observations : les œillades, les expressions faciales (le sourire n'étant pas caractéristique, eu égard à sa fonction sociale bien plus étendue), les poignets tournés vers l'avant, (signe d'extrême vulnérabilité), les attouchements, etc. L'homme se risquant moins souvent à ces approches le premier.

                     

Le comportement amoureux dans le monde

            

            

Le comportement sexuel varie fort peu suivant les diverses sociétés humaines. Les modes de séduction, de contacts, les parades et les expressions faciales ne présentent que des différences mineures et très extérieures. L'Europe n'a plus le monopole de la représentation massifiée du comportement amoureux .

            
 pourtant, les deux grandes industries cinématographiques du monde, occidentale et indienne montrent de manière saisissante le caractère uniforme des représentations collectives de la sexualité dans des cultures différentes, a fortiori sachant que ces deux cinémas ont chacun une aire d'influence qui va bien au delà de leurs sphères géographiques propres. Les films Indiens sont depuis longtemps projetés dans tous les cinémas du Moyen-Orient et du monde arabe, tandis que le cinéma occidental a depuis longtemps fait la conquête du Japon et de la zone d'influence chinoise.

               
Néanmoins certains détails comportementaux sont culturellement acquis. Le baiser avec la langue, par exemple, qui semble naturel en Occident, en Chine, dans le monde arabe, en Inde (civilisations ô combien expertes en matières de raffinements érotiques, du fameux
Kâma Sûtra, écrit par le brahmane Vatsyayana vers le début de l'ère chrétienne aux contes des mille et une nuits), était probablement inconnu en Afrique subsaharienne avant l'arrivée des Européens. Dans Ma vie secrète, un anonyme licencieux de l'époque victorienne rapporte qu'il a dû « apprendre » cette pratique, qui n'allait pas de soi. Il s'agirait donc d'un trait culturel, mineur, mais réel.

 

Comportement et langage

             

Paradoxalement, l'acte le plus naturel du monde (la
reproduction) tout comme certaines fonctions corporelles (la défécation) sont accompagnés chez l'Homme d'interdits sociaux visibles au niveau du langage et du comportement. Il existe dans toutes les sociétés humaines des tabous relatifs à ces fonctions : l'Homme est le seul animal qui se réunit en groupe pour manger mais s'isole pour déféquer. De même, l'acte sexuel se fait de préférence dans l'isolement (l'amour en groupe est considéré comme déviant). Le langage est lui-même empreint de ces valeurs morales qui distinguent ce qui est "propre" de ce qui est "sale". De tous temps les religions ont réprimé ces pulsions et se sont servi de leur influence sur le psychisme 
                

(menace de souffrances infinies dans un autre monde...) pour mieux embrigader les crédules (voir
libertinage, célibat, abstinence) ou au contraire pour en faire le centre de leur philosophie dans certaines sectes (le gourou s'adjuge toutes les femelles du groupe). Le langage distingue ainsi dans sans doute toutes les langues du monde plusieurs niveaux pour désigner la copulation : poétique (union), vulgaire (baiser et une infinité d'autres termes), médical-scientifique (coït) etc.

       

 Quelques exemples d'euphémismes qui évitent d'être trop explicite : alors que les expressions faire l'amour, to make love sont sans équivoque, on préfère éviter la formulation directe (choquante) en disant "coucher avec quelqu'un" ou même to sleep with somebody en anglais, mit jemandem schlafen en allemand (alors que justement il n'est pas question de dormir !). Au même titre, sich lieben (s'aimer en allemand) reste ambigu et peut désigner autant le sentiment que l'acte charnel. Le choix du partenaire résulte en fin de compte d'un équilibre subtil entre l'attirance consciente ou culturelle (goûts communs, littérature, musique, niveau de langage, richesse, comportement social etc.) et l'attirance inconsciente ou naturelle (physique, odeur, sentiment de sécurité en vue de la procréation etc.).


             
 
       
                 

La sexualité humaine représente l'ensemble des comportements qui concernent la satisfaction des besoins et désirs sexuels. La complexité de la sexualité humaine est lié aux multiples formes de pratiques et d'orientations sexuelles ainsi qu'à la variété des lois légales et des normes sociales qui la régissent. Cette réalité fait de la sexualité humaine un domaine d'enjeux sociaux tel que la procréation, la santé, le plaisir, les lois, les tabous, l'amour et de nombreux autres. La science qui étudie la sexualité humaine et ses troubles est la sexologie


           

On appelle préliminaires la phase de préparation intime faite de
tendresse, d’échanges et de caresses diverses, au début des rapports sexuels et amenant les partenaires à un état d'excitation sexuelle. Il s'agit de donner du plaisir sans avoir pour but immédiat l'orgasme. 

              
                                 


            

En général, les femmes ont besoin de plus de temps que les hommes pour atteindre cette excitation. Dans le cadre d'une sexualité hétérosexuelle pénétrative, les préliminaires servent donc en général à amener la femme à un niveau de désir suffisant pour que la lubrification
vaginale facilite la pénétration.

               

Les pratiques sexuelles non pénétratives (
fellation, cunnilingus, massages, caresses, masturbation réciproque... et beaucoup d'autres) sont souvent considérées comme des "préliminaires", par hétérocentrisme

                   

L'
orientation sexuelle la plus fréquemment avouée est l'hétérosexualité, c'est-à-dire l'attirance sexuelle pour le sexe opposé. Jusque vers le milieu du XXe siècle, c'était la seule orientation admise comme étant dans la norme par la plupart des sociétés humaines, les autres étant qualifiées de maladie ou de perversion. Les personnes n'étant pas dans la norme sont souvent victimes d'ostracisme ou de persécutions. Il a existé toutefois quelques exceptions dans certaines civilisations
Le « genre social » est l'identité construite par l'environnement social des individus, c'est-à-dire la « virilité » ou la « féminité », que l'on peut considérer non pas comme des données « naturelles », mais comme le résultat de mécanismes extrêmement forts de construction et de reproduction sociale, au travers de l'éducation. Elle à traits aux comportements, pratiques, rôles attribués aux personnes selon leur sexe, à une époque et dans une culture donnée.